Le dopage est de plus en plus utilisé chez les sportifs (entre autres), d'amateurs à professionels. Les sportifs se dopent pour se dépasser, s'étonner, et époustoufler les spectateurs qui par la suite parleront d'eux. C'est donc comme cela qu'ils gagnent le succès. 

Malheureusement, bien que le dopage soit une garantie de réussite ( ou presque ), l'impact sur l'homme y est important. Il se manifeste physiquement et psychologiquement.

Les impacts physiques :

En réalité, les sportifs consomment des médiaments détournés de leur fonction thérapeutiques, ce que rappel Jean-François BOURG, chercheur au centre de droit et d'économie du sport : l'éphédrime (asthe), facilite l'effort d'un spinter en réduisant son temps de réaction ; l'hormone de croissance (pédiatrie) , va développer la masse musculaire de l'haltérophine ; le Prozac (dépression), renforce le mental du marathonien ; l'érythroproietine ou EPO (anémie), facilite le transport de l'oxygène dans le sang et améliore donc l'endurance du cycliste et du skieur de fond ; la tacrine (maladie d'Alzheimer), va réduire les pensées soucieuses du piolote de formule 1 et du joueur de golf... Ce sont l'unes des substances les plus consommées par les sportifs en général.

On le sait bien, le dopage est le fruit de la réussite individuelle. Mais il n'est pas sans danger, il est même très mauvais pour la santé. En soit, le sport est une activité très favorable à la santé... Si on y ajoute le stress, le surentraînement et le dopage, le sport n'est plus ce qu'il est vraiment, il est perçu comme un facteur entraînant des accidents et des pathologies pouvant être très graves. En effet, les substances dopantes attaquent toutes les fonctions de l'organisme à savoir cérébrale, métabolique, cardiovasculaire, respiratoire et hématologique ce qui peut entraîner diversent risques potentiels comme des accidents cardiaques et circulatoires, insuffisances rénales et hépatiques, cancers, impuissance, stérilité... Nous sommes donc d'accord, l'homme aime le risque, il est prêt à jouer sa vie rien que pour goûter au succès, pour quelque chose qui n'est qu'éphémère.

Les impacts psychologiques :

Le fait de se doper n'engendre pas seulement des problèmes de santé physique, le dopage est comme une drogue, il intervient aussi dans l'état psychologique du sportif. Plus le sportif se dope, plus il en ressentira le besoin. Le dopage est donc une addiction, une dépendance. Certaines substances dopantes renforcent le mental afin d'accroitre les performances (contrôle de la douleur), et aide à lutter contre l'anxiété, le stresse, la presssion , la fatigue... Les substances entraînant une forte dépendance psychologique sont la cocaine et les amphétamines, elles provoquent de fortes pulsions de besoins. C'est pourquoi commencer à en consommer, c'est la dépendance assurée.